(M) HIERONYMUS GRIFFITHS — gerard butler (free)

NOM ET PRÉNOM : GRIFFITHS, Hieronymus ÂGE ET ANNÉE DE NAISSANCE : 38 ans, né en 1965 ANCIENNE ÉCOLE & ANCIENNE MAISON : Poudlard - Serpentard NATIONALITÉ : Anglais GROUPE : Officiellement : Ministère // Officieusement : Mafia Sorcière LIENS : Spoiler:

AVATAR : Gerard Butler
©rosedelight@LJ

HISTOIRE : L'ancienne et noble lignée des Griffiths abrite un nombre impressionnant de gratte-papiers tout au long des siècles de l'Histoire Magique. Hieronymus s'est donc bêtement senti obligé de suivre la tradition familiale, et il est entré au Ministère de la Magie Britannique en 1987, alors qu'il avait vingt-deux ans, afin d'être un employé du Département de la Justice. Côtoyant Aurors, Juges, Avocats, et Brigade Magique, il s'est habitué aux règles et aux consignes administratives, connaît les lois et se fait un malin plaisir de… les contourner. Il était déjà assez malin à Poudlard pour contourner le règlement assez régulièrement sans se faire prendre. Son père, Lärs Griffiths, était un ancien Serpentard, et il avait mis un point d'honneur à trouver les passages secrets dans les cachots et les souterrains de Poudlard, des passages que même les Maraudeurs ne trouvèrent jamais. Lärs fit cadeau de ces filouteries à ses fils, qui le suivirent dans le monde illégal et clandestin des bas-fonds sorciers. Cependant, à l'instar de son père, Hieronymus a appris à afficher une apparence respectable à laquelle on ne peut rien reprocher. Il semble innocent, blanc, comme neige, et pourtant, il est l'un des informateurs les plus précieux de la Mafia des îles britanniques. Petit, il était brillant, et on le reconnaissait comme un élève très prometteur. Adolescent, il parvint à cacher certains de ses travers mesquins et passa encore pour un jeune homme honnête et responsable. Il fut même nommé préfet de Serpentard pendant ses cinquième et sixième années à Poudlard.
Hieronymus ne s'est jamais marié, mais a contribué à la naissance d'un enfant qu'il n'a jamais reconnu. La mère est partie en Italie, s'il a bien compris ce qu'elle avait marqué dans sa dernière lettre. Il n'a pas de grandes ambitions, et se contente parfaitement de sa place de gratte-papiers du Département de la Justice.

CARACTÈRE :Futé et rusé comme il est, le malin sorcier a toujours réussi à ne jamais laisser imaginer un seul instant qu'il pût être de l'autre bord. Aussi, dans le Ministère, on le prend pour un employé presque modèle, qui ne perd jamais une bonne occasion pour se rendre utile. Volontaire et enthousiaste, l'homme cache ses véritables motivations d'une façon experte, et il garde très aisément un air sérieux et grave alors que la seule chose qu'il voudrait faire serait d'exploser de rire face à ces hommes et ces femmes qu'il trahit sans problème. Il s'en garde bien, remarquez, puisque le Bureau des Aurors est juste à côté de la salle où il passe le plus clair de son temps. Ça serait bête de se faire envoyer à Azkaban après vingt ans presque à avoir berné tout le monde. Doué, il parvient à extirper n'importe quel renseignement de quiconque, que ce soit autour d'une tasse de café généreusement rapportée du bar d'en bas, ou autour d'une table remplie de dossiers. Il arrive à ses fins, quel que soit l'obstacle, mais ne s'en vante pas. Modeste, il a la victoire silencieuse, et préfère la savourer avec ses frères en jouant aux fléchettes sorcières plutôt que dans un tripot sorcier avec certains de ses collègues mafiosi. La discrétion, toujours.

PHYSIQUE : Hieronymus est barbu -il a horreur de se raser- et sa barbe est brune. Ses cheveux ont la même couleur brun sombre que ses poils de barbe, tandis que ses yeux sont d'un bleu très clair. Se dessinent déjà sur son visage les traces de sa fatigue, et il ressemble plus à un sorcier de 70 ans qu'à un homme de 40. « Certains sorciers vieillissent plus vite que d'autres » se borne-t-il à répondre lorsque ses frères se moquent de son apparence troublée. Sa carrure, quant à elle, lui permet d'être en paix la plupart du temps, sauf lorsque certaines employées du Ministère viennent papillonner des cils devant son bureau, ce qui l'exaspère atrocement. Et avec un grand sourire forcé, il leur montre le chemin du retour de sa main calleuse et forte.