•• Mariella Federoso
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| NOM ET PRÉNOM : FEDEROSO, Mariella NOM DE CODE : La Madonna ÂGE ET ANNÉE DE NAISSANCE : 30 ans, née le 3 Septembre 1971 ANCIENNE ÉCOLE & ANCIENNE MAISON : École de Sorcellerie Mexicaine NATIONALITÉ : Mexicaine GROUPE : Mafia Sorcière : Branche Mexicaine
- Spoiler:
(à développer par le joueur)
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AVATAR : Penelope Cruz
©puka@LJ
HISTOIRE : Mariella est la fille d'un milliardaire mexicain,
Luis Federoso, et d'une ancienne chanteuse d'opéra maintenant reconvertie dans les œuvres de charité,
Silvia Federoso, née Sambre. Elle est la fille unique du couple vieillissant, et a hérité de bien nombreuses qualités de ses parents. De Luis, elle a appris à gérer ses comptes, de sa mère l'humilité et la générosité. Cet héritage l'a motivé à créer et présider une association d'aide aux sorciers de basse condition résidant au Mexique, afin de leur permettre d'accéder aux soins dont ils ont besoin, quitte à prendre en main leurs frais hospitaliers… Elle a l'image d'une saine dans son pays maternel, et a été très médiatisée, lorsqu'on pensait qu'elle entretenait une relation privilégiée avec le joueur mondial de Quidditch
Juan Malondre. Relation niée, bien entendu. Apparaissant donc telle une sainte aux yeux de ses contemporains et voisins, elle jouit d'une réputation respectable et admirable. Mais comme tout le monde, elle a une autre facette, que le Grand Public n'imagine pas d'elle. Normal, elle use de nombreuses identités factices pour cacher la réalité de ses actes.
Son père l'a guidé dans la voie de la clandestinité. Jefe de la Mafia Mexicaine, lieutenant donc sous le vrai chef, il s'est enrichi au moyen de nombreux travaux illégaux, non rapportés aux Autorités Mexicaines. Le trafic de drogue, tel le Voltiflor, le Blanchiment de Gallions, la Prostitution, l'Extorsion de fonds, et la Corruption de quelques hauts dignitaires locaux sont ses lettres de noblesses souterraines. Et Mariella a retenu les leçons de son père, pour devenir une Informatrice privilégiée de la Mafia. Son image de grande dame lui ouvrant de bien nombreuses portes permit à Mariella d'obtenir un nombre faramineux de renseignements pouvant aider la Mafia Mexicaine à éviter des arrestations. On la voyait dans de nombreux galas, parée des plus beaux atours, mais toujours humble, modeste, et déterminée à rappeler aux grands de ce monde que le pauvre petit peuple sorcier souffrait, là-bas, dans les bas quartiers… C'est ainsi que, vers ses vingt ans, on commença à la surnommer
La Madonna. Elle avait fait ses études dans l'École de Sorcellerie Mexicaine, près de la frontière avec les États-Unis, et bénéficia d'un programme d'entraide entre les deux écoles de Sorcellerie. Elle passa donc un semestre à Salem Institute, mais n'en garde pas de grands souvenirs, préférant oublier cette partie-là de sa vie. Vers ses vingt-deux ans, en 1993, elle se créa sa première fausse identité, une dénommée
Carolina Zafon. Carolina était une étudiante Cracmole en pétrochimie, décidée à travailler dans le Monde Moldu pour oublier sa déception de ne pas être sorcière. Sous l'identité de Carolina, Mariella réussit à démasquer de nombreux traîtres de la Mafia Mexicaine, et les livra sans pitié aux tueurs à gages à leurs trousses. Quelques années plus tard, naquit
Constanza Argentelam, chargée de promouvoir la culture Moldue dans les bas-fonds. Elle ne s'y fit pas que des amis, mais réussit à retourner quelques uns des caïds du lieu, en les recrutant pour la Mafia par des moyens divers et variés. Cependant la Madonna dut reprendre son identité réelle, et cocher présente pour la mission qu'on lui assigna en Novembre 2001. Prétextant un colloque dans les environs de Londres, elle fit ses bagages et s'éloigna des journalistes mexicains, pour aller en Angleterre, où elle se devait de surveiller des trafics quelconques : des chargements de baguettes volées, du Voltiflor en veux-tu en voilà… Mise en contact avec les Mafieux sur le territoire Anglais, elle tissa très vite -en moins de deux mois- un réseau de connaissances vaste, et compte rester pendant un bon bout de temps en Angleterre, jusqu'à ce qu'on la rappelle à la maison… Elle est donc en poste permanent à Londres et dans les environs, et profite du temps libre qu'elle a pour s'informer, et transmettre les informations à son pays natal.
CARACTÈRE : On pourrait la comparer à un Robin des Bois moderne, volant aux riches pour donner aux pauvres, mais la vérité n'est pas exactement celle énoncée plus tôt. Malgré le visage de sainte qu'elle se donne, qui la croit ainsi est bien loin du compte. Mariella n'est pas un ange. Elle n'est pas non plus une diablesse. Elle a juste vécu dans de la soie depuis sa naissance, et feint un intérêt envers les sorciers dépourvus de tout ou presque pour se donner une contenance. En vérité, elle ne s'en fiche pas complètement, et a une conscience réellement existante, pourtant ses véritables motivations pour s'intéresser aux conditions de vie lamentables des sorciers des bas-quartiers sont que ce sont souvent les parfaites recrues pour la Mafia. Pas de conviction politique, pas d'idéal réel, juste besoin d'argent pour vivre. Assez bien éduqués, ils peuvent faire de parfaits soldats pour la Mafia et elle n'a pas été la seule à le comprendre, guidée par son père. Elle sait être très persuasive, et mener les gens par le bout du nez sans qu'ils ne s'en rendent compte. Et c'est comme un jeu pour elle.
PHYSIQUE : Cheveux noirs, bronzée, yeux marrons, Mariella affiche des ancêtres indiens. Elle descend d'Apaches et d'Aztèques, et en est fière. Son nez aquilin est de temps à autre comparé à celui de Cléopâtre, mais elle n'a pas encore eu l'idée de prendre un retourneur de temps pour vérifier si les dires des gens sont véridiques… Souvent de sortie avec des tailleurs sombres, elle s'habille pour les galas où elle se rend -bah oui, elle va pas y aller nue, hein- et affiche des couleurs chaleureuses, telles le rouge, l'orange, et l'or… Elle aime les bijoux, ne se gêne pas pour en mettre, sauf lorsqu'elle se balade sous une autre identité de la sienne véritable. Prudence est mère de sûreté, après tout. Et Mariella connaît les risques courus dans les bas-fonds…